Bonjour, je m'appelle Astrid et j'ai 34 ans, il y a trois ans à la suite d'un nouveau déménagement, je me suis retrouvée dans un état de fatigue extreme, je n'arrivais presque plus à marcher, ni à dormir, ni à manger, beaucoup de fourmis dans les membres puis des sensations de paralysie . Des "boules" grosses comme un oeufs apparaissaient subitement sous mes pieds au début puis sur les jambes, les bras, le visage et repartaient comme elles étaient venues dans les heures ou jours suivants. Sont ensuite arrivées les névralgies d'Arnold, comme des coups d'ectricité dans le crane, très brefs mais très intense en douleur. La fybromialgie fu diagnostiquée quelques mois plus tard après une tonnes d'examens divers et variés. Suivie pendant environ 6 mois par un rhumato réputé et etudiant la fibro, j'ai eu des traitements différents sans résultats probants sinon une quirielles effets secondaires ce qui m'a poussé a claquer la porte du monde médical.
Depuis, la vie suis son cours aves des hauts et des bas, des périodes de crises chaque fois différentes en temps et intensité. Mon époux me soutiens de son mieux même s'il lui arrive comme à moi d'avoir de grands raz le bol, dans ces cas là la communication nous aide à passer le cap et repartir du bon pieds. Ma fille de huit ans accepte plus ou moins les choses et est très triste lorsqu'elle voit que je suis en crise mais elle réagit comme une petite reine et est très courageuse. Le reste de la famille est éparpillé et semble comprendre mais je n'en suis pas toujours persuadée.
Les amis les vrais continuent à me prendre comme je suis et sont très présents même si les kilometres nous séparent.
Inscrite depuis le printemps 2007 sur fibromyalgie.xooit.com, je trouve sur ce forum un grand soutien et espere en apporter aussi un peu parfois. Mes nuits d'insomnies sont depuis beaucoup moins pénibles et longues car je trouve ici presque à coup sur d'autres fibros insomniaques.
Je suis persuadée que je guerirais, même si je ne sais pas encore par quel biais et retrouve vite mon espoir lorsque ça m'arrive de le perdre.
Bien à vous.